quelles erreurs à éviter pour acheter son premier local commercial
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La réalité ? un simple filtre suffit pour sécuriser ses loyers
On se lance dans l’immobilier locatif avec un premier appartement… sans vraiment savoir où on mettait les pieds. On se dit que quand même, c'est fou de pouvoir gagner de l'argent passivement, même à deux jeunes de 21 ans. C'est sécurisant pour l'avenir...
Le contexte économique et social en France nous fait comprendre qu'il n'y a qu'une seule chose importante : être libre. Nos jobs nous pèsent, nos salaires ne suffisent pas à payer une maison. On déprime de vivre dans ce contexte difficile et on décide que ça suffit. On se fait la promesse d'être libre financièrement avant nos 30 ans.
On enchaîne les visites, on essuie quelques déceptions, mais on apprend vite. On découvre l’importance du cash-flow et de la fiscalité. Notre stratégie se structure. Le rythme s’accélère. On multiplie les projets : immeubles, appartements, diversification. On apprend à gérer les banques, les travaux, les locataires comme des pros. Les premiers vrais cash-flows tombent. La perspective d'en vivre un jour se concrétise.
On se rend compte qu'il y a peu de contenu sur l'investissement proposé par des créateurs de notre tranche d'âge. On lance notre podcast "Quitte le Boomer Dream" pour partager notre expérience et pouvoir donner de la valeur gratuite à toutes les personnes qui veulent vivre de l'immobilier.
En 1 an, on double notre nombre de lots. On touche presqu'au but fixé quelques années plus tôt : avoir suffisamment de cash-flow avec l'immobilier pour remplacer nos jobs. On essuie quelques galères mais on voit le bout du tunnel.
À 27 ans, on quitte définitivement nos jobs de salariés (banque et expertise comptable). On se consacre à 100 % à nos investissements, à nos accompagnementset à inspirer notre génération. Liberté acquise, mais surtout construite pas à pas.
Maxime, 26 ans, ingénieur
"Je pensais que l’immobilier commercial était réservé aux pros ou aux gros investisseurs. Grâce à Julien, j’ai compris comment analyser un bail, négocier avec un commerçant et surtout éviter les pièges. Trois mois après le début, j’ai acheté mon premier local, un ancien salon de coiffure en centre-ville, avec 11,2 % de rentabilité nette. Aujourd’hui, je touche un loyer stable tous les mois et je me demande pourquoi je n’ai pas commencé plus tôt."
Magali, 35 ans, infirmière
"Je voulais diversifier mes investissements car j’avais déjà deux appartements en location. La formation m’a donné une vraie méthodologie pas à pas : calcul de la rentabilité, fiscalité, financement bancaire, tout était clair. J’ai acheté un petit local loué à une boulangerie dans une ville moyenne. Je dégage 650 € de cash-flow par mois, et j’ai surtout gagné en confiance pour continuer à investir."
Florent, 28 ans, Kinésithérapeute
"En tant que kiné, j’avais toujours été locataire de mes murs, et je voulais passer de l’autre côté. La formation m’a ouvert les yeux sur l’opportunité d’acheter non pas pour exploiter moi-même, mais pour louer à d’autres. En 6 mois, j’ai acquis un local de 40 m² que j'ai loué pour une boutique de prêt à porter. C’est un placement béton qui me génère 250€/mois de cashflow